Sergio GS
21/10/2018 08:01:08 pm
Ces mémoires de l’écrivain français d’origine lituanienne Romain Gary ne m’ont pas laissé une forte impression après la lecture, bien que les faits relatés soient certainement durs du point de vue vital. Je me demande pourquoi. Peut-être le ton, peut-être la manière d’envisager les choses de cette mère et de ce fils n’ont pas éveillé en moi de sympathie particulière. Quand le narrateur fait des abstractions sur la vie etc. je me perds assez souvent… Certains passages, où il affirme sa joie de vivre, la capacité de résistance qu’il a, soi-disant, face au désespoir et la valeur qu’il donne aux petits détails de la vie, peuvent devenir inquiétants quand on connaît la fin tragique de Romain Gary.
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Josette
25/10/2018 11:20:33 am
"Quand la légende dépasse la réalité, on publie la légende"dit le journaliste dans le film de John Ford L'Homme qui tua Liberty Valance.
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María Jesús FG
22/10/2018 09:04:49 pm
El Premio Princesa de Asturias de la Concordia 2018 ha sido concedido a la oceanógrafa estadounidense Sylvia A. Earle, por su dedicación, durante más de seis décadas, a la exploración e investigación de los océanos, el conocimiento de los fondos marinos y la conservación integral de los mares, que se ha convertido en uno de los desafíos medioambientales de nuestro tiempo.
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José Luis SÁNCHEZ
23/10/2018 10:12:13 am
La promesse de l’aube me semble, au moins en partie, un roman picaresque moderne. Pourquoi? Voici quelques raisons:
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José Luis SÁNCHEZ (Reunión en Calatayud el 23-X-2018: ideas principales)
29/10/2018 10:42:34 am
Se han dado dos tipos de lecturas en nuestro grupo: personas que leyeron el libro hace tiempo, más tranquilamente, y personas que lo han leído últimamente de modo más apresurado. En cuanto a si ha gustado, división de opiniones: a algunos sí (la mayoría) y a otros no. Estos últimos alegan que les han resultado frustrantes las buenas expectativas que presentaba la obra en un comienzo.
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José Luis SÁNCHEZ (Colloque à Calatayud le 23-X-2018: idées principales)s
5/11/2018 12:21:05 pm
La plupart des gens ont aimé le livre. Les personnes auxquelles le romain n’a pas plu expliquent que le livre n’a pas finalement comblé les expectatives qu’elles ont eues au début.
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Marie-Hélène Herbillon
13/11/2018 10:20:36 am
J'ai beaucoup aimé ce roman même si j'y ai trouvé parfois quelques longueurs. Dans ce livre, Romain Gary, nous raconte avec beaucoup d'humour et de tendresse la lutte incessante que sa mère mène contre l'adversité, l'énergie extravagante qu'elle dépense pour qu'il connaisse un destin grandiose et les efforts qu'il déploie pour faire coïncider sa vie avec les rêves de cette dernière. Ce roman, qui est avant tout un roman sur l'amour maternel, nous montre une fois de plus à quel point l'être humain est conditionné par l'amour reçu (ou non) durant l'enfance. "Avec l'amour maternel, la vie vous fait à l'aube, une promesse qu'elle ne tient jamais" . "On est obligé ensuite de manger froid jusqu'à la fin de ses jours".
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helene SANCHEZ
17/1/2019 11:18:25 am
Relu avec plaisir ce roman nous touche par l’évocation du lien filial qui nous concerne tous .Un écrivain disait que le livre de ma mère d'Albert COHEN et celui-ci n'étaient pas auto-biographique .Je m'inscris en faux contre cet avis car il y a des détails qui ne peuvent être inventés comme celui de la mère qui "sauce" la poêle où a cuit le steak de son fils .
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